• C'est incontestablement une ville élégante et agréable, un des fleurons incontournable de la côte normande. Nous avons eu beaucoup de plaisir à flâner dans la rue de la mer, à admirer le Grand Hôtel encore empreint de la mémoire de Marcel Proust et à nous balader sur la digue-promenade qui longe la plage de sable doré.
  
  Un bien bel endroit.

 

 

Courseulles

 

•  Agréable et vivant port de pêche et de plaisance, cette station balnéaire est très séduisante. Elle abrite la Maison de la Mer qui présente un aquarium et une collection de coquillages et le récent musée Juno Beach, symbole de l'amitié franco-canadienne.
  
  Il ne faut pas oublier de déguster les délicieuses huîtres, tout juste sorties des parcs.

• En novembre 2006, nous passerons une nuit tranquille sur l'aire de services située à l'extrémité Est de la commune, juste à côté du camping.
  Contrairement à de nombreux endroits, les places sont larges et adaptées à la largeur de nos camping-cars.
  
  
  En hiver, le lieu est gratuit et calme. En été, il est demandé la somme de 5,90 euros (2008). Une borne permet de s'approvisionner gratuitement en eau.
  
  
  La mer et la plage sont à une centaine de mètres. La digue-promenade mène au port et au centre-ville en une petite quinzaine de minutes.

 

 

 

 

 

 

 

 

• Toujours hors-saison, il est possible de passer la nuit dans les dunes non loin du musée. L'endroit est calme et très agréable : la mer d'un côté et un vieux moulin de l'autre.

• Inaugurée le 6 juin 2003 sur la plage où débarquèrent les soldats canadiens, le Centre Juno Beach est un lieu de mémoire et de découverte.
  Il a été voulu par des vétérans qui, en visite en France, s'étonnèrent qu'aucun musée ne fasse perdurer leur venue sur les côtes normandes. De nombreux dons privés et quelques subventions ont fait le reste.
  
  Aimablement accueillis par deux jeunes "cousines" à l'accent chantant, il nous permet de parcourir l'histoire du Canada du XXè siècle jusqu'à nos jours à travers de nombreuses photos, vidéos et souvenirs.
  
  Un hommage tout particulier est rendu au courage des soldats canadiens lors des conflits de la Seconde Guerre mondiale.

• Dominant le célèbre village, il est impératif de s'arrêter sur le grand parking (gratuit depuis toujours, 4 euros en saison depuis 2007 !!!) qui abrite le cinéma circulaire. La vue sur les caissons qui formaient le port artificiel est extraordinaire.
  Le cinéma présente le film "Le Prix de la Liberté", projeté sur 9 écrans dans une salle circulaire à l'aide d'un procédé exclusif.
  
  Le contraste entre les images filmées en juin 1944 par les correspondants de guerre et les images actuelles tournées sur les mêmes lieux rendus à la paix est saisissant.
  Que ce soit par l'image ou par le son spectaculaire, nous sommes plongés au coeur de l'événement.

• En bas, sur la grande place, se dresse le Musée du Débarquement.
  Sous la houlette d'une guide passionnante, nous apprenons tout ou presque de l'exploit technique que fut la construction et la mise en place en seulement 12 jours de ce port artificiel.
  
  Devant de larges baies face à la mer, un ensemble de maquettes et 2 films aident à comprendre ce que fut la clé de la victoire en Normandie.
  On admire l'ingéniosité qui a été déployée pour adapter les pontons et les routes flottantes à l'amplitude des marées.
  
  A recommander !

• A côté des tennis, à cent mètres de la plage et des commerces, l'aire de services est tranquille et assez agréable.
  
  
  Le stationnement et la vidange des toilettes y sont gratuits, 2 euros pour l'eau, pas de possibilité d'évacuer les eaux usées.
  
  
  Promenade sur la digue et dans la rue piétonne et il est déjà temps de dîner, enchantés par cette belle escale.

• Située à quelques kilomètres à l'Ouest, dans un site sauvage battu par les vents, cette batterie de défense côtière est composée d'un poste de commandement et de quatre impressionnantes casemates abritant chacune une pièce d'artillerie de 150 mm (portée 20 km).
  Les couches de terre qui les recouvrent partiellement étaient destinées à amortir les impacts des bombes et leur évitaient de basculer.
  
  Ouvrage majeur du mur de l'Atlantique, elle était située sur une falaise dominant la Manche au coeur du secteur d'assaut allié. Elle joua un role stratégique lors du débarquement allié du 6 juin 1944.
  Il ne fallut pas moins de 1000 tonnes de bombe et les tirs nourris de trois croiseurs alliés pour neutraliser cette ouvrage de défense.
  
  Deux parkings permettent de déjeuner où de passer une nuit tranquille.

 

 

 Port-en-Bessin

 

 

 

• C'est un port tout en longueur, niché au creux des falaises. D'ici partent les nombreux bateaux pour aller pêcher au large des côtes anglaises ou encore ramasser de délicieuses coquilles Saint-Jacques en baie de Seine.
  
  Ne pas manquer d'assister à la merveilleuse fête qui leur est consacrée à la mi-novembre : "le Goût du Large".

• Ce n'est que pour déjeuner que nous nous arrêtons dans cette station, juste le temps de recevoir durant quelques minutes une belle averse de neige.
  Elle est célèbre pour son cimetière américain qui renferme près de 10.000 croix de marbre.
  On peut voir également le monument du Débarquement et le musée d'Omaha, fermé en cette saison.
  
  Tout le bord de mer est interdit aux camping-cars. Un panneau est là pour le rappeler tous les deux cents mètres...

• Cette pointe était un formidable poste d'observation pour les soldats Allemands.
  Elle fut le lieu de sanglants combats lorsqu'elle fut attaquée par le 2e bataillon de Rangers.
  
  Puissamment fortifiée, elle a été récemment réhabilitée et des sentiers permettent de se promener au milieu des blockhaus.

• C'est par un vent glacial de Nord-Est que nous passons la nuit sur le port. Au réveil, la vue sur la mer en furie est magnifique. Un endroit à recommander.
  
  Fini, terminé !
  
  Depuis juillet 2008, il est interdit de stationner sur la jetée du port.
  La municipalité a ouvert près de la caserne des pompiers une aire de services avec quinze places de stationnement.

  Stationnement et vidanges gratuits, eau contre une pièce de 2 euros.

   

• Construit sur les dunes de Varreville, un monument encadré par un tank Shermann et une chenillette commémore le débarquement de la deuxième Division Blindée du Général Leclerc.

• Halte à l'aire de service privée située à côté du camping (7 euros + 2 euros pour l'eau en novembre 2006 !!!). A comparer avec les 6,60 euros avec l'eau demandés à la même période au camping "La Blanche Nef "à Barfleur...
  
  L'endroit est agréable et proche du port.
  Malgré le peu de camping-cars en hiver, le propriétaire des lieux effectue de nombreuses rondes pour se faire payer. Personne ne passera entre les mailles du filet ! ;-)))
  
  L'aire était en travaux lors de cet hiver 2006. Elle va être coupée en deux afin de réserver une partie pour les camping-cars qui souhaiteraient se brancher sur l'électricité et bénéficier des douches du camping.
  De quelle somme exhorbitante vont-ils avoir à s'acquitter ???

• Le port et la rue principale sont toujours aussi animés et pittoresques.

•  Il faut absolument entreprendre la merveilleuse promenade qui fait le tour des remparts du Fort de la Hougue construit par Vauban.
  Par moments, on joue les équilibristes sur d'étroits murs bordés d'un côté par la mer et de l'autre par les douves. A différents endroits, nous prenons conscience de l'énorme architecture militaire qui a été déployée dans la baie de Saint-Vaast.

• Ce joli petit port de pêche bordé de solides maisons de granit ne manque pas de charme. Là aussi, comme à St Vaast-la-Hougue, nous y faisions souvent escale avec nos voiliers.
  
  Nous passons la nuit au camping "La Blanche Nef" et en profitons pour recharger les batteries de notre cellule (10,40 euros avec l'électricité fin 2005). Une remise de 10% est accordée sur présentation du Guide du Routard de Normandie.
  Le lendemain, les vues sur le village et la mer sont très belles.
  
  Le sentier du littoral part du camping, longe des criques et de petites anses pour mener au phare. La balade est très agréable et offre de jolis points de vue.

• Déjeuner au pied de ce phare qui, avec ses 71 mètres, est un des plus hauts de France. A la pointe Nord-Est du Cotentin, il surveille le dangereux Raz de Barfleur aux violents courants.

• C'est un endroit sauvage et tranquille que nous affectionnons particulièrement. C'est ici qu'ont été chargés de nombreux blocs de granit qui ont servi à la construction de la grande rade de Cherbourg.
  
  Déjeuner sous la pluie et longue promenade jusqu'au phare et au sémaphore du cap Lévi.

•  En janvier 2008, nous découvrirons à Gréville-Hague, près de l'église, une superbe aire ouverte récemment. Stationnement, vidanges et eau quelques temps gratuits ont été remplacés rapidement par une borne fort bien conçue.
  Plein d'eau avec un jeton.
  L'endroit est aussi tranquille qu'agréable. Les places du fond offrent la vue sur la mer.
  
  Juste à l'entrée, il y a même un boulanger qui fait du bon pain et une délicieuse spécialité : "le Grévillais".
  
  A la belle saison il est possible de visiter la maison natale du peintre Jean-François Millet.

• Brêve halte pour nous dégourdir les jambes dans ce minuscule havre. Il est encore utilisé par quelques pêcheurs et par les plaisanciers pour attendre la renverse de courant lorsqu'ils sont en retard pour rejoindre Cherbourg.
  

• Nous revenons en janvier 2008 et entreprenons une longue balade de près de 8 kilomètres. Elle commence par le chemin des douaniers qui nous fait passer au pied du fort en ruines qui surplombe le port puis nous trouvons la ferme de la Cotentine. Une belle vue se dégage sur la baie de Quervière et au loin sur Cherbourg.
  
  
  Une forte montée et un sentier forestier nous mène à la Ferme du Tourp, gigantesque bâtisse qui abrite la Maison de la Hague, des expositions et un restaurant.
  Il ne nous reste plus qu'à descendre sur Omonville par la vallée des moulins en longeant le petit ruisseau.
  
  
  A noter que de bonnes chaussures sont souhaitables et qu'en janvier les pluies ont transformé une bonne partie de la randonnée en un véritable bourbier. Il faut faire preuve de talents d'équilibriste pour ne pas tomber.
  
  
  Nous passerons la nuit sur le parking situé derrière le restaurant. Calme, vue sur mer et toilettes.
  
  En août 2008, nous en profiterons pour dîner au restaurant du Café du Port. Vue imprenable et repas correct pour 75 euros à deux avec apéritif et un Juliénas.

• Cette sauvage pointe Nord-Ouest du Cotentin est un de nos endroits préférés.
  C'est un peu le bout du monde.
  
  Un minuscule port, un canot de sauvetage, quelques maisons de granit aux toits de schiste, des prés bordés de murets de pierre sèche qui rappellent l'Irlande et la mer, la mer, la mer.

• Il y a aussi le grand phare de la Hague qui borde la Raz Blanchard. C'est ici que l'on observe lors des grandes marées les courants les plus forts de France : 12 noeuds soit presque 25 km/h !
  Il voit passer 20% du trafic mondial !

• Depuis 2005, les camping-cars ne peuvent plus stationner dans le hameau. Nouvelle étape en 2007, des barres de hauteur interdisent même l'hiver l'accès au parking du bas.
  
  Un terrain nous a été ouvert à l'entrée d'Auderville, à 800 mètres du port.
  Si de jour la vue sur le phare et le raz Blanchard est superbe, le pré où nous devons stationner est boueux à la mauvaise saison et sinistre dès que la nuit est tombée.

• C'est depuis le Nez des Voidries que l'on peut admirer ce "Finistère", le plus important du Cap de la Hague.
  
  
  Perchés à 128 mètres, nous sommes sur une des falaises les plus hautes d'Europe.
  
  
  Malgré la bruine, le panorama est grandiose. Par beau temps, il va du Cap de Flamanville au phare de Goury et aux îles anglo-normandes.
  
  
  C'est aussi une réserve ornithologique et le paradis des randonneurs.
  Déjeuner sur l'agréable parking et nous reprenons la route.

• Nous ne connaissions pas Diélette et ce fut une agréable découverte malgré la pluie présente lors de la balade. Ce petit port, en eau profonde depuis 1995, est bordé de vieilles maisons de granit qui ont beaucoup de charme.

 

 

Barneret-Carteville

 

 

 

 

 

 

• Nous arrivons sur le parking de la gare maritime à la tombée de la nuit. C'est un des points d'embarquement les plus importants vers les îles.
  Contrairement à la période estivale, nous sommes les deux seuls camping-cars à y dormir.
  
  Autre possibilité intéressante nous est offerte par les deux parkings du phare. Dès les premiers beaux jours, c'est le lieu d'évolution de nombreux parapentistes.
  

• C'est en compagnie de deux "vieux" amis camping-caristes habitant les lieux que nous passons une excellente soirée à l'Hôtel des Ormes (02.33.52.23.50).
  Cette bonne table fait face au port de plaisance. Carte et cadre originaux, service attentionné pour 50 à 60 euros par personne. Seul reproche : le prix élevé des vins.

•  Agréable repas au bord de ce joli port d'échouage. Le pont aux nombreuses arches et l'église en fond forment un tableau qui ne manque pas de charme.

• Depuis 2005, le parking de l'Aquarium est interdit par des barres de hauteur.
  
  La municipalité nous propose une aire de services placée juste derrière ce dernier.
  
  
  Certes la magnifique vue sur la mer et le port n'est plus au rendez-vous mais l'endroit bordé par le stade n'est pas désagréable.
  
  
  Il est demandé la somme de 5 euros pour passer la nuit. Grâce à une nouvelle borne, eau et électricité ne sont plus gratuites depuis mi-2008.
  
  

• C'est toujours avec plaisir que nous revenons dans cette belle cité. Nous faisons une grande balade ensoleillée dans la ville haute qui n'est pas sans rappeler Saint-Malo.
  Il est également très agréable de contourner la pointe du Roc par le sentier de randonnée.
  
  Plus de détails sur la ville en cliquant ici.

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