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Images hivernales des côtes vendéennes :

de l'Aiguillon-sur-mer à Port-du-Bec

 

- janvier 2007, décembre 2008 et septembre 2013 - 

 

 

 
- Météo de la Vendée -

 

 

 

Nous avons longé ces côtes à plusieurs reprises avec grand plaisir.
Voici quelques photos hivernales de ce dernier voyage de décembre 2008.

Beaucoup plus de renseignements touristiques sur les deux pages indiquées ci-dessous (je n'ai pas voulu trop me répéter) :

 


Pornic et L'île de Noirmoutier
Balade hivernale le long des côtes vendéennes et incursion dans le marais poitevin
de Mortagne-sur-Gironde à Noirmoutier
De Marennes à l'île de Ré

 

 

 

1. St Michel-en-l'Herm - 2. L'Aiguillon-sur-mer - 3. Les Sables d'Olonne - 4. St Gilles-Croix-de-Vie -
5. St Jean-de-Monts - 6. Noirmoutier - 7. Beauvoir-sur-mer -

 

 

 

 

 

- L'Aiguillon-sur-mer -

 

  • Venant de longer les côtes charentaises, c'est un vent glacial qui nous accueille à L'Aiguillon-sur-mer. Contrairement à il y a deux ans, le soleil est au rendez-vous. Nous déjeunons au bord de l'eau sur l'aire de services située à côté de l'école de voile et des pompiers. L'endroit est calme et agréable.

    Dans cette baie protégée située sur une route migratoire, on ne compte pas moins de 150.000 oiseaux de toutes sortes au mois de janvier.

 

 

 

 

  • L'après-midi, nous nous promenons sur le port. Les pontons sont construits sur pilotis à l'aide de longs pieux. On se croirait un peu dans un port chinois.

    La rue principale, bordée de quelques commerçants, est bien calme. A côté de la criée, nous achetons des huîtres qui, à taille égale, sont deux fois moins chères que dans la région de
    Marennes-Oléron.
 

 

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 - Saint-Michel-en-l'Herm -

 

 

  • En janvier 2007, nous avions repéré un restaurant gastronomique dont la carte avait retenu toute notre attention : "La Rose Trémière".
    Nous nous étions promis de revenir et bien nous en a pris. Accueil, service, finesse et qualité des plats, tout à concouru à nous faire passer une excellente soirée (110 euros à deux personnes).

    Nous passons la nuit sur le parking tout proche, juste devant l'église.

    C'est son abbaye qui a fait la renommée de ce gros village. Dans le temps, ses moines ont été d'importants acteurs dans l'assèchement des marais environnants.
 

 

 

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 - Les Sables d'Olonne -  

 

 

 

 

 

  • Température négative au lever mais un beau soleil ne tarde pas à se montrer.
    Nous prenons la route côtière pour nous rendre aux
    Sables d'Olonne et trouvons un endroit merveilleux pour déjeuner au bord de l'Océan, un peu après Bourgenay.


    Beaucoup de circulation et peu de places pour stationner aux
    Sables en ce samedi. A quelques pas des rues piétonnes, c'est le parking du Centre de Marée, boulevard de l'Ile Vertime, qui nous accueillera. Nous y passerons d'ailleurs une nuit sans aucun bruit (ce qui est rare le samedi soir).

    Nous profitons de ce beau temps pour longer les quais du port qui mènent à la jetée et faire une longue marche sur la digue du Remblai.
    Il y a un monde incroyable !
 

 

 

  • Affluence également importante sous la tente qui accueille le PC course du Vendée Globe 2008/2009. Tous les quatre ans, les courageux marins partent faire un tour du monde sans escale et sans assistance.  
 

 

 

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 - Saint-Gilles-Croix-de-Vie -  

 

 

  • Nous retrouvons l'aire de services occupée par seulement quelques camping-cars. Contrairement à notre dernière venue hivernale, l'eau n'est distribuée que contre un jeton spécial à la borne et disponible à l'Office du Tourisme (fermé le dimanche).


    Comme chaque matin nous faisons tourner notre groupe électrogène pendant une heure. Partis depuis trois semaines, nous avons parcouru moins de 400 km en bougeant presque tous les jours. Nous économisons pourtant nos batteries au maximum : un seul spot et deux heures de télévision lorsque le programme nous intéresse.
    Elles sont à la baisse comme le CAC 40 !!!


    Nous avons la délicatesse de nous éloigner des camping-cars qui peuvent être à côté de nous pour que le bruit ne les dérange pas. Tous, loin de là, ne font pas preuve de ce savoir-vivre...


    Je remarque, toujours avec désespoir, que nos très "chers" voisins viennent se coller à deux mètres de nous, bien souvent sur d'immenses parkings quasiment vides.
    Si c'est la peur d'être seuls qui les tenaille, personnellement, le jour où je ne serai pas rassuré en camping-car, je resterai chez moi...

 

 

  • Le chenal se situe à 300 mètres de l'aire et le centre à 800 mètres environ.
    Les quais du port de pêche sont toujours aussi attrayants et il est agréable de revenir par la rue piétonne aux trottoirs bordés de boutiques.
 

 

 

 

 

 

  • Autre belle flânerie de plus de trois heures que nous réaliserons le lendemain à partir de l'aire : le port de pêche, traverser la Vie par le pont de la Concorde qui unit depuis plus de 40 ans Saint-Gilles et Croix-de-Vie en une seule commune, longer le port de plaisance puis la dune de La Garenne pour aboutir finalement au phare de la jetée.

 

 

 

 

 

  • Il y a deux ans, j'avais acheté une superbe veste de quart au Comptoir Maritime. Si les articles proposés sont aussi variés que magnifiques, les vendeuses semblent toujours préférer papoter entre-elles que de s'occuper des clients...



    Fidèles clients depuis 1982 des sardines en conserve de "
    La Belle-Iloise", nous dégustons sur le port celles de "La Perle des Dieux" qui sont, elles aussi, délicieuses.
    La boutique est le siège de la Confrérie de la sardine qui rappelle l'âme sardinière de la ville. Au XIXe siècle, avec l'invention des procédés de conservation,
    Saint-Gilles comptait une dizaine de conserveries. Il ne reste plus que l'usine Gendreau.

 

 

 

  • Après toutes ces journées ensoleillées, le lendemain restera gris et bouché. Il fait toujours très froid.

    Hier, nous étions sur la rive Sud de la Vie, aujourd'hui, sur la rive Nord. Nous effectuons une longue promenade sur le port et la corniche. L'endroit, battu par la mer et le vent, serait agréable s'il n'y avait cette incessante circulation.

    Cela doit être inimaginable en été...


 

 

 

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 - Saint-Jean-de-Monts -  

 

 

  • Saint-Jean-de-Monts possède une belle digue-promenade longue de près de 3 kilomètres. Il faut une concentration extrême pour slalomer entre les crottes de chiens.

    D'un côté la plage et la mer à perte de vue, de l'autre des immeubles dont la plupart des appartements sont fermés. Beaucoup sont à vendre.

    Heureusement qu'ils sont particulièrement bien exposés car on ne peut pas dire que les architectes aient fait des merveilles.
 

 

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 - L'île de Noirmoutier -

 

 

 

  • La nuit est déjà tombée lorsque nous arrivons à l'aire de services de Noirmoutier-en-l'Ile où nous allons passer le réveillon de la Saint-Sylvestre.
    Une vingtaine de camping-cars sont déjà là, toutes antennes TV dressées vers le ciel.

    Le stationnement est passé de 4,50 à 7 euros en deux ans ! Surpris sans ticket, il vous en coûtera 17 euros.
    Les vidanges sont gratuites (si, si !) mais le plein d'eau est à 2 euros.

    Le 1er janvier, il n'y a plus de pain à 11h45 dans les quatre boulangeries ouvertes. Sympa !
    Heureusement, en compagnie d'une vingtaine de personnes, nous attendons quelques minutes une fournée salvatrice de "La Mie Caline".
 

 

 

  • Après avoir quitté le port apparaît le cimetière à bateaux et l'on entame une belle et longue promenade de 6 km aller-retour sur la jetée Jacobsen : le canal d'un côté, les marais de l'autre. Les oiseaux et les canards sont nombreux.


    Le lendemain, le parking étant très vaste, nous nous éloignons d'une centaine de mètres des autres camping-cars pour ne pas les déranger avec le bruit du groupe électrogène. Trente minutes plus tard, deux camions viennent se garer juste à côté de nous.

    Navré, mais je ne comprend pas tout !
 

 

 

  • Cinq kilomètres nous séparent de l'Herbaudière, principal port de pêche de l'île.

    L'aire de services, gratuite en hiver il y a deux ans, est maintenant payante tout comme à Noirmoutier : 7 euros pour le stationnement (17 en cas de non affichage de ticket !).
    L'eau est délivrée contre une pièce de 2 euros et les vidanges sont par contre gratuites (remerciements à la municipalité !).
    Les poubelles débordantes à l'entrée du parking sont du meilleur effet... Ramassage une fois par mois ?
 

 

  • Il y a cinquante ans, la sardine était la reine et il y avait ici pas moins de cinq conserveries qui ont toutes fermé.
    Maintenant, ce sont surtout les crustacés et le poisson noble qui sont pêchés (turbots, soles, bars).

    Il fait 0° et un vent glacial pour nous promener sur le port.

 

 

 

 

 

  • Le soir nous dînons dans le restaurant "La Marine", très réputé dans toute la région. Il a obtenu une étoile au Michelin en 2007.

    A notre grande surprise, en ce 2 janvier on ne peut plus proche des agapes de fin d'année, 20 couverts seront servis sur les 24 disponibles.
    Inutile de dire que tout est réuni pour nous faire passer une soirée mémorable : que ce soit la finesse, l'originalité et le nombre des plats, l'accueil, le service impeccable et le cadre.

    Trois menus : 48, 76 et 90 euros.
    Seul bémol qui nous a toutefois amusé : au menu à 76 euros, un supplément de 8 euros par personne est demandé pour le fromage...




    Au petit matin, la mer étant haute, nous jugerons plus prudent de ne pas passer par le passage du Gois pour rejoindre le continent
    ;-)))
 

 

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 - Port-du-Bec -

 

 

 

 

  • Nous déjeunons au bord du chenal de Port-du-Bec, endroit que nous affectionnons tout particulièrement.
    Avec ses centaines de pieux qui supportent les pontons en bois, on le surnomme "le port chinois".
    Nous sommes encore et toujours en pleine région ostréicole.

 

 

 

 

 

 

 
En septembre 2013, nous constatons qu'un parking a été fort bien aménagé le long du chenal
avec borne de services et évacuation des eaux usées.

 

 

 

 

 

  • Courte halte au départ du passage du Gois où plusieurs nouveaux panneaux d'information ont été installés depuis notre dernière venue.
 

 

 

 

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 - Beauvoir-sur-mer -

 

  • C'est sur l'aire de Beauvoir-sur-mer que nous passons la dernière nuit de ce voyage hivernal.
    Au réveil, il fait moins 5°. Fait rarissime, toutes les vitres intérieures de la cabine avant sont gelées.
    Nous venons de vider une bouteille de gaz en 4 jours et demi. Notre précédent record était de 5 jours.

    En 2013, nous constatons que l'aire a été fort bien aménagée.
     
 

  

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Merci de votre visite et à bientôt!

 

 

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