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Images hivernales des côtes charentaises :

de Marennes à l'île de Ré

 

- Décembre 2008 -
et janvier 2003  

 

 

 
- Météo de la Charente-Maritime -

 

A voir également :
Rochefort, Fouras, La Rochelle, l'île de Ré
Gémozac - l'île d'Oléron
de Mortagne-sur-Gironde à Noirmoutier

 

 

 

 C'est la deuxième fois que nous longeons ces côtes en hiver.

Ce voyage de décembre 2008 nous a permis de découvrir de nouveaux sites
comme Marennes et la superbe pointe de la Cayenne, Brouage ou l'aquarium de La Rochelle.
Des informations complémentaires sont sur notre périple de 2003 :

Rochefort, Fouras, La Rochelle, l'île de Ré

 

 

 
1. Marennes - 2. île d'Oléron - 3. Brouage - 4. Le Port-des-Barques -
5. Fouras - 6. La Rochelle - 7. île de Ré -

 

 

 

- Marennes -

 

 

 

 

  • C'est à Marennes que nous débutons cette escapade hivernale.
    Juste à côté de l'immense clocher de l'église Saint-Pierre de Sales, la place du 8 mai 45 nous accueille pour la nuit.

    Nous allons nous promener et sommes obligés de demander à une passante si nous sommes bien dans le centre-ville tellement les magasins sont peu nombreux. Elle nous confirme que l'ouverture de deux supermarchés a signé la fermeture de nombre d'entre-eux.

 

 

  • Grand soleil et ciel bleu au réveil. Nous allons nous promener du côté de Marennes-Plage et voyons deux parkings réservés aux camping-cars.


    S'ils sont bien situés en bord de mer, il est demandé 5,50 euros, même en hiver, pour y passer la nuit.


    Aucun service n'est proposé.

 

 

 

 


- La pointe de la Cayenne : un endroit superbe -

 

 

 

 

  • Nous retournons sur Marennes et longeons sur près de trois kilomètres le canal qui mène au port de la Cayenne.

    Nous sommes ici au royaume des ostréiculteurs. Avec toutes ces cabanes multicolores, nous y retrouvons un petit côté norvégien.

    L'endroit est très tranquille - en fait, il n'y a personne - et la vue superbe sur le pont d'Oléron,
    la Tremblade et le bras de mer.

    Nous y passerons la nuit.
 

 

 

 

 

 

 

 

  • L'après-midi est consacré à la visite de la toute nouvelle Cité de l'Huître ouverte en octobre 2006. Elle partage ses locaux avec le restaurant "La Claire".


    L'accueil est particulièrement souriant et sympathique.
    350 à 400.000 visiteurs défilent ici chaque année et, là encore, nous sommes seuls.


    Cinq cabanes de couleurs différentes construites sur pilotis abritent des vidéos passionnantes qui font appel aux technologies les plus modernes et les plus innovantes. Elles nous content tout ou presque sur la reine de la région : l'huître.


    Nous apprenons entre autre qu'une huître sur deux dégustée en France viendrait d'ici et que la moitié de la production serait écoulée dans les quinze derniers jours de l'année.
    Un spectacle extraordinaire à recommander qui saura ravir petits et grands.


    Il ne nous reste plus qu'à acheter à quelques centaines de mètres de là de succulentes huîtres au "banc d'Aline" qui propose également une délicieuse soupe de poissons. Là aussi, l'accueil est très chaleureux.

 

 

 

 

 

  • Le lendemain, c'est la tempête : vent très violent et pluie nous accompagnent toute la journée. Nous, qui sommes des adeptes du restaurant uniquement le soir, irons même faire un déjeuner très correct à "l'Escale", distant d'une vingtaine de mètres du camping-car.
    Patron et serveuse particulièrement sympathiques.

    Un peu de ravitaillement, achat d'une bouteille de gaz au Leclerc et nous franchissons le pont pour nous rendre sur l'île d'Oléron.

 

 

L'huître a un pays : Marennes-Oléron

 

 

  • Etendu sur 6000 ha, le bassin de Marennes-Oléron possède un écosystème unique en France.


    C'est au coeur de ce milieu, à la limite incertaine des eaux et des terres, que naît et grandit une huître à nulle autre pareille.


    Et c'est au terme de son élevage et de sa croissance qu'elle va connaître son ultime phase de préparation : l'affinage en claires.


    Sa chair va alors s'étoffer, sa coquille et sa nacre se renforcer, l'huître va se charger du goût si riche du terroir.


    Autant d'étapes qui lui confèrent cette saveur incomparable.

 

 

 

 

 

- L'île d'Oléron -

 

 

 - Avec ses 30 km de long sur 6 km de large, Oléron est la plus grande des îles françaises après la Corse -

 

 

 

 

 

  • Nous retrouvons avec plaisir cette île que nous avions déjà visitée en janvier 2003.

    L'aire du Stade n'existe plus (barres de hauteur).
    Elle est remplacée par une toute nouvelle (septembre 2008) située sur la route des Huîtres, à 2500 m au Nord-Ouest du centre-ville. C'est un ancien camping désaffecté et les places sont innombrables. Borne avec jetons, services gratuits lors de notre passage.

    Nous préférons passer la nuit sur le parking "Le Mail" situé à 100 mètres de l'Office du Tourisme et de la place de la République. Nous y avions déjà dormi lors de notre premier séjour. Cet endroit est idéal hors-saison.
 
  • Après les trombes d'eau d'hier, le soleil est revenu.
    Dimanche est jour de marché. Nous allons y faire un tour. Il y a du monde malgré la période hivernale.
 

 

 

  • L'après-midi est consacré à une longue balade à travers le port ostréicole. Les baraques multicolores lui donnent beaucoup de cachet.
    Nous la terminons en pénétrant dans la citadelle construite sur l'ordre de Richelieu. N'oublions pas que
    Le Château était une ancienne place forte et que cette région fut particulièrement bien protégée par un nombre impressionnant d'ouvrages militaires.  

 

 

 

 

  • Ce bref séjour au Château fut aussi agréable qu'ensoleillé. Nous allons faire le plein d'eau à l'aire située au bord de la route des Huîtres, puis nous longeons la côte et traversons les installations ostréicoles d'Arceau et de jolis paysages avant d'arriver à Boyardville.

    Nous déjeunons avec vue sur le port. Tous les restaurants et commerces sont fermés et durant notre promenade de plus d'une heure, nous ne verrons pas âme qui vive.

    C'est d'ici que partaient les hommes et les matériaux qui ont servi à édifier le désormais célèbre Fort Boyard.
 

 

 

 

  • Nous traversons Saint-Georges puis La Brée-les-Bains.

    Saint-Denis d'Oléron n'est pas loin.

    Nous comptions passer la nuit sur l'aire que tous les camping-caristes semblent apprécier. Ce n'est qu'un gigantesque bourbier que sept camions ont toutefois bravé. Il n'est que 16 heures et les antennes satellite sont déjà érigées.
    Courage, fuyons !

    Nous poursuivons sur le phare de Chassiron, immense tour en noir et blanc, haute de 54 mètres. Il ne nous sera pas possible de monter à son sommet car des "alpinistes-réparateurs" ont pris possession des lieux.

    En définitive, nous retournons sur le parking du
    Château qui devient notre camp de base.

 

 

 

 

  • Nuit tranquille sans aucun bruit.
    Sous la grisaille, nous remontons vers le Nord de l'île, à
    Saint-Denis d'Oléron.
    Le grand port de plaisance est désert. Il souffle un vent glacial de Nord-Est.

    Au phare de Chassiron, nous empruntons la pittoresque route côtière. Sur une dizaine de kilomètres, tous les parkings nous sont interdits par des barres de hauteur.
    La mer laisse place à la forêt.
    95% (ou plus) des villas sont fermées.

 

 

  • Nous ne tomberons pas sous le charme de La Cotinière qui a pourtant une étoile au Michelin Vert.


    Malgré la marée haute, aucun mouvement de bateau, pas de pêcheur et, bien évidemment, tous les commerces et restaurants ont leur rideau tiré.


    Seule exception, le Comptoir Maritime, qui propose de nombreux vêtements et articles marins.

 

 

 

  • Un peu plus loin, le Port des Salines offre des itinéraires de découvertes des marais salants. A l'entrée, les cabanes multicolores proposent à la belle saison des expositions sur le sel et l'ostréiculture.

 

 

 

  • C'est à la nuit tombante que nous arrivons à Saint-Trojan, belle et grande station balnéaire. Le port avec ses cabanes colorées et leur joyeux désordre nous a paru être le plus authentique de l'île. A quelques jours des fêtes de Noël, tous les ostréiculteurs sont particulièrement affairés.

    Juste à côté de l'Office de Tourisme, un grand parking gratuit est autorisé jour et nuit aux camping-cars.

    Retour au
    Château et nous quittons l'île le lendemain.
 

 

 

 

 

 

 

- Brouage -

 

 

  • Bien que nous soyons allés au Canada il y a quelques années, nous n'avions jamais entendu parler de Brouage, cette place forte qui a vu naître Samuel de Champlain, fondateur du Québec.

    L'arrivée surprend par la taille de son enceinte perdue en plein marais.
    C'était au Moyen-Age la capitale européenne du sel et la mer venait lécher ses remparts.

    Avec une garnison de 6000 hommes, c'était un peu plus tard l'endroit le mieux défendu de la côte Atlantique. Ce fut ensuite le déclin,
    La Rochelle et Rochefort lui volant la vedette.

 

 

 

 

  • Nous déjeunons à quelques mètres de l'Office de Tourisme (possibilité d'y passer la nuit) qui organise chaque jour de l'année quatre visites guidées de la ville.

    Nous en profitons bien entendu ce qui nous permet de découvrir, commentaires et anecdotes à l'appui, la forge royale, l'immense halle aux vivres, la tonnellerie, les poudrières et la glacière.

    L'église Saint-Pierre abrite trois superbes vitraux offerts par le Canada dans le cadre des échanges entre les deux pays.

    Il ne nous reste plus qu'à faire le tour des remparts, soit une promenade de deux kilomètres.

    Un bien bel endroit à recommander.

 

 

 

 

 

 

- Port-des-Barques -

 

 

  • Le lendemain, le cap est mis sur Port-des-Barques.
    C'est une coquette station balnéaire. Nous déjeunons à proximité de l'aire du Calvaire. C'est le point de départ de la "Passe aux Boeufs" qui permet de relier l'île Madame distante d'un peu plus d'un kilomètre.

    Un banc de sable d'une trentaine de mètres qui nous semble très meuble nous décourage de nous y rendre avec le camion.
    Nous reviendrons !
 

 

 

 

 

 

 

- Fouras -

 

 

  • Nous retrouvons avec plaisir cette commune que nous avions visitée il y a quelques années.
    Malgré la pluie, nous allons nous promener sur la digue que garde le fort Vauban et dans la rue piétonne qui a conservé de nombreux commerçants.

    Le parking si pratique de la plage Nord sur lequel nous avions dormi est maintenant fermé par des barres de hauteur.

 

 

 

 

 

 

- La Rochelle -

 

 

  • Il fait nuit lorsque nous arrivons au Port des Minimes situé à la périphérie de La Rochelle.
    Interdit du 15 juin au 15 septembre, c'est, hors-saison, le lieu de stationnement favori pour les camping-cars. Il faut dire que l'endroit est vaste et tranquille. Nous sommes une dizaine à y passer la nuit.

    Avec plus de 3000 bateaux, c'était - et c'est peut-être encore - le port de plaisance le plus important d'Europe.
    Venant de
    Caen, nous y avions fait escale à plusieurs reprises avec nos voiliers dans les années 80.
 

 

 

  • En ville, nous garons le camion sur le grand parking Bernard Moitessier, à côté de la gare et à environ un kilomètre du Vieux-Port. Il fait face à "Cérealog" et à "Equipages Center" et jouxte l'endroit où stationnent les camions de location.


    Nous longeons les quais où sont amarrés beaucoup de grands et superbes voiliers. Certains catamarans sont impressionnants. Après être passés devant l'Aquarium, nous admirons l'ancienne frégate météo "France 1" qui appartient maintenant au Musée Maritime.
    Fermé de septembre à avril, je ne sais pas si nous pourrons le visiter un jour, nous qui venons toujours en hiver...



    L'accueil dans le somptueux Office du Tourisme n'est pas des plus chaleureux. Le moindre plan de la ville est payant au titre de l'écoparticipation. Quand on pense que la plus petite commune touristique offre une documentation...

    A l'entrée, un grand panneau annonce fièrement que
    La Rochelle est la troisième ville la plus visitée de France. Nous nous doutons que la première est Paris mais l'hôtesse - particulièrement coincée et qui se demandait ce qu'elle faisait dans le tourisme - n'a pas su nous indiquer la deuxième.

    Les trois tours sont toujours là et parcourir le port est très agréable sous ce beau soleil.

    Nous nous promenons dans les rues commerçantes qui attirent beaucoup de monde en cette période qui précède Noël.

 

 

 

 

  • Une bonne partie de l'après-midi se déroule dans le bâtiment de verre et de bois qui abrite le gigantesque aquarium. Il reçoit 800.000 visiteurs par an.

    Pas moins de 12.000 animaux marins de toutes les mers du globe et 20 spécimens de requins sont visibles dans 70 aquariums qui contiennent 3 millions de litres d'eau de mer.

    Un audioguide donne un maximum d'informations tout au long de ce parcours passionnant.

 

 

 

 

  • Depuis le port des Minimes, le bus de mer offre une mini-croisière particulièrement intéressante. En 20 minutes, il mène en ville en passant entre les célèbres tours. On ne saurait rêver mieux, c'est un vrai régal pour les yeux !
 

 

 

  • En se dirigeant vers le "Phare du Bout du Monde", il y a une jolie promenade à effectuer en bord de mer.
 

 

 

  

 
- le Phare du Bout du Monde,
réplique de celui qui fut dressé en 1884 sur l'île des Etats, au large de la Terre de Feu,
afin de baliser l'approche du Cap Horn depuis l'Atlantique -

 

 

  Pour plus de renseignements touristiques sur La Rochelle, consultez notre précédent voyage en cliquant ICI.

 

 

 

 

- L'île de Ré -

 

 

 

 

 

  • Ciel bleu et grand soleil pour nous rendre sur l'île de Ré. Le pont déroule sa belle courbe de trois kilomètres entre le pertuis d'Antioche et le pertuis Breton. Le péage n'a pas augmenté depuis notre dernière venue : 9 euros.

    Impossible de s'arrêter pour déjeuner sur les parkings qui bordent la route. Ils sont tous munis de barres de hauteur. On se sent déjà les bienvenus !
 

 

 

 

 

  • Nous poussons jusqu'à l'aire de Saint-Martin de Ré. Heureusement que nous avions pris nos précautions avant de quitter le continent car la borne est empaquetée comme un cadeau de Noël et l'on a pas lésiné sur le ruban adhésif.

    Elle doit être hors service depuis longtemps puisqu'une affiche, passée par le soleil, demande pour le plein d'eau de s'adresser au camping, ouvert seulement en été (4,30 euros le jeton !!!).
    Le trou de vidange en plastique est défoncé, un camion ayant dû y mettre une roue.

 

 

 

  • En ce dimanche ensoleillé, le port est très animé. Les promeneurs sont nombreux et les terrasses de café remplies.
    Il a une forme assez particulière puisqu'il enserre l'ancien quartier des marins qui est devenu un îlot seulement accessible par un pont et une écluse.
    Grâce à ses relations avec le Canada et les Antilles, il fut très prospère au XVIIe siècle.
    Il ne nous reste plus qu'à nous promener le long des imposantes fortifications qui mènent à la Citadelle qui est aujourd'hui une prison. Autrefois, c'est d'ici que partaient les bagnards pour Cayenne ou la Nouvelle-Calédonie.

    Pour finir, nous flânons au hasard des ruelles pavées et admirons l'église Saint-Martin et de belles demeures anciennes.

    Nuit en solitaire sur l'aire rendue un peu sinistre par les hautes haies qui la cernent.
 

 

 

 

 

 

  • Toujours le grand soleil pour se rendre dans le joli petit village d'Ars-en-Ré.
    La place centrale est dominée par l'église Saint-Etienne qui possède un clocher très particulier peint en noir et blanc. Lorsque les instruments de navigation n'étaient pas aussi perfectionnés, c'était un amer très utile aux marins.

    Avec ses voiliers et ses barques multicolores, le port constitue une agréable promenade.

 

 

 

 

  • Un peu plus loin, c'est le phare des Baleines qui nous accueille le temps d'un déjeuner.

    En raison des vacances de Noël, les visiteurs sont assez nombreux. Etant déjà montés à son sommet il y a quelques années, nous nous contentons d'en faire le tour.

    Un musée a été installé dans l'ancienne école des gardiens de phares. Ses créateurs ont eu la bonne idée de s'adresser à Jamy et à son équipe de l'émission "C'est pas sorcier" pour y montrer des animations remarquables.
 

 

 

  • Aux Portes-en-Ré, nous sommes quasiment au bout de l'île. A la sortie du village se dresse une chapelle dédiée aux marins qui est en fait une ancienne poudrière.


    Nous pénétrons dans le bois de Trousse-Chemise rendu célèbre par Charles Aznavour. Dans le temps, il fallait retrousser ses habits pour traverser un petit bras de mer. D'où son nom.


    Nous arrivons enfin au bout du monde, la pointe du Fier : plage de La Patache et aire de stationnement pour quelques camping-cars. Pas d'eau et personne en cette saison.

 

 

 

  • Nous rebroussons chemin et faisons une halte vers Le Martray, endroit où l'île ne fait pas plus d'une centaine de mètres de large.


    Presqu'île dans la presqu'île, nous terminons cette journée à la pointe du Grouin avant de nous balader à la nuit tombante - et manquer nous perdre - dans le village de
    Loix.


    Il ne nous reste plus qu'à regagner pour la seconde fois consécutive l'aire de
    Saint-Martin-de-Ré où nous passerons une nouvelle nuit en solitaire

 

 

 

 

 

 

  • Toujours et encore le grand soleil. Nous sommes gâtés !

    La Flotte-en-Ré est classé parmi les "100 plus beaux villages de France".


    Nous avons beaucoup aimé flâner dans le dédale de ruelles autour de l'église Sainte-Catherine pour arriver - presque par hasard - au vieux marché couvert de tuiles rondes. Beau temps aidant, il a un petit air méridional.


    Les quais du port ne manquent pas non plus de cachet. Pour résumer, une escale fort agréable.

 

 

 

 

 

  • Quelques kilomètres et nous faisons une pause-déjeuner avec une vue splendide sur les ruines de l'abbaye des Châteliers.
    Le tout petit parking est condamné par des barres de hauteur. Qu'à cela ne tienne, nous restons à l'extérieur, le panorama est encore plus beau !

    Les ruines sont superbes et un joli jardin occupe ce qui fut son cloître.
    Edifiée au XIIe siècle par l'ordre des Cîteaux, elle subit drame sur drame avec les attaques successives de pirates et des différents partis qu'opposèrent les guerres de Cent Ans et de Religion. Ses pierres servirent même à édifier le fort de la Prée !
 

 

 

 

  • Notre dernière étape sera Rivedoux, station qui s'étire longuement le long de la mer.
    Beaucoup de circulation, même en hiver, car nous sommes sur la nationale qui traverse l'île.

    En bord de mer, l'aire de services Campéole, à la sortie Est de la ville, est bien située : en face le petit marché, le boulanger, l'office du tourisme et les nombreux restaurants.
    Dommage que la route ne soit qu'à quelques dizaines de mètres...
 

 

 

 

 Pour d'autres renseignements touristiques sur l'île de Ré, consultez notre précédent voyage de janvier 2003 en cliquant ICI.

 

 

 

 

C'est là que se termine la première partie de notre voyage.
Nous quittons la Charente-Maritime et mettons maintenant le cap sur la Vendée

 

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