Bernard.Tartois@wanadoo.fr
- Météo de
la Sarthe-
-
fin août - début septembre 2011
-
Depuis de nombreuses
années notre amie Annick souhaitait nous faire
visiter ce département
où elle a vu le jour.
Son désir s'est enfin réalisé : les
Tartois chez les Sarthois.
1- Fresnay-sur-Sarthe - 2 :
Beaumont-sur-Sarthe - 3 : Vivoin - 4 : Saint-Marceau - 5 :
Ballon - 6 : La Ferté-Bernard -
7 : Montmirail - 8 : Saint-Calais - 9 : Le Mans - 10 :
Asnières-sur-Vègre - 11 :
Juigné-sur-Sarthe - 12 : Solesmes -
13 : Sablé-sur-Sarthe -14 : Parcé-sur-Sarthe -
15 : Malicorne-sur-Sarthe - 16 : Bazouges-sur-le-Loir - 17 :
Luché-Pringé -
18 : Vaas - 19 : Château-du-Loir - 20 :
Ruillé-sur-Loir - 21 : Poncé-sur-le-Loir - 22
: Bessé-sur-Braye -
(environ 350
kilomètres)
- Nous
nous étions donné rendez-vous sur l'aire de
services de
Fresnay-sur-Sarthe.
Arrivés en fin de soirée, les orages se
sont déjà déclenchés. Ils
dureront une bonne partie de la nuit et seront d'une
violence rare.
Dans un cadre verdoyant, l'aire est assez agréable
et surtout très calme. Stationnement, eau et
vidanges sont gratuits.
Le lendemain nous montons sous la grisaille visiter la
"petite cité de caractère".
L'Office du Tourisme nous remet un plan qui nous permet
de voir les principales curiosités.
Nous commençons par admirer le portail
sculpté qui date de 1528 de l'église Notre
Dame. Un peu plus loin c'est une belle maison à
colombages qui fait face à l'Hôtel de
Chevry.
Dans la Grande Rue, nombreuses sont les maisons anciennes
fort bien restaurées. Très étroite,
la rue du Lion abrite le musée de la Coiffe et la
cave du Lion.
Nous sommes agréablement surpris par les passants
que nous croisons qui pour la plupart nous sourient et
nous donnent le bonjour.
Nous ne tardons pas à arriver sur la place de la
Halle et à la porte du château. Une fois
franchie, nous pénétrons dans un joli
jardin très fleuri et particulièrement bien
entretenu.
Depuis les remparts on a de jolies vues sur le vieux pont
qui enjambe la Sarthe et les demeures
anciennes.
- A
Beaumont-sur-Sarthe
nous stationnons le
camping-car sur la place Dufour.
Là aussi l'Office du Tourisme nous remet un plan
de visite fort utile. Il nous mène à
l'église avant de descendre jusqu'à la
Sarthe et au petit pont roman.
La remontée se fait par de petites rues pour
arriver à la place de la Halle. La Motte, royaume
des boulistes, domine la campagne avoisinante.
Nous passons la nuit sur un parking planté
d'arbres juste après le camping. L'endroit est
vraiment très agréable et tranquille : nous
ne verrons passer que trois ou quatre voitures durant
notre séjour.
- Le
prieuré de
Vivoin
est fermé. Nous pouvons toutefois nous balader
dans ses vastes dépendances où les pommiers
sont nombreux. Il y a même un circuit à
faire autour de l'ancien vivier des moines.
Le cadre est agréable.
- Minuscule
hameau,
Saint-Marceau
possède un joli prieuré. Lui aussi
fermé à la visite, il est toutefois
possible de se promener dans ses jardins.
- A
Ballon,
c'est le donjon qui tient la vedette.
Les
guides nous l'indiquaient fermé à compter
du 15 août, l'Office du Tourisme nous le certifie
ouvert.
La châtelaine nous rappelle à l'ordre et se
demande vraiment ce que nous faisons sur ces terres
puisque son domaine est effectivement fermé.
Après explication, elle se calme et nous permet de
nous promener dans les jardins.
Ce donjon en parfait état faisait partie de la
plus ancienne forteresse qui défendait la
frontière entre le Maine et la Normandie.
Maintenant le donjon veille sur la
vallée.
- Nous
trouvons un agréable parking très calme
pour passer la nuit. Il est situé juste à
côté du cimetière. A 50 mètres
se trouvent un Ecomarché et une borne fonctionnant
avec des jetons à se procurer dans la rue
principale. Les vidanges sont gratuites.
- Arrivés
à La
Ferté-Bernard,
nous garons le camion sur le gigantesque parking
quasiment vide de la salle omnisport, avenue Charles de
Gaulle. Il est à deux pas du centre-ville.
Surnommée "la Venise de l'Ouest" en raison de ses
canaux, cette petite ville est très
pittoresque.
Notre promenade commence en franchissant la belle porte
Saint-Julien flanquée de deux tours rondes.
Dans la rue d'Huisne et la rue Carnot les demeures
anciennes sont nombreuses. On découvre les halles
et une fontaine en granit puis l'immense église
Notre Dame des Marais.
Autour d'elle, la cité médiévale
reflétée dans l'eau de ses canaux compose
un labyrinthe de ruelles et de passages où il fait
bon s'égarer entre maisons à pans de bois
et cours secrètes.
Nous passons la nuit sur le parking toujours
désert.
- La
météo est toujours maussade avec de rares
périodes ensoleillées. La
température a du mal à atteindre les
20°.
Bref arrêt à
Courgenard.
L'église, classée monument historique, est
malheureusement fermée.
- Au
pied du château de
Montmirail,
nous trouvons un magnifique parking où il est
possible de passer la nuit. Il y a même un
robinet.
- Suit
une balade dans la coquette petite cité qui fut
jadis la capitale de cinq baronnies du Perche.
C'est toujours une ville fortifiée qui jouit d'un
site défensif sur des hauteurs boisées.
Le château est lui aussi fermé, comme
beaucoup de sites après le 15
août.
- A
Saint-Calais
le stationnement sur l'aire de services est gratuit ainsi
que l'eau et les vidanges. La route étant proche,
il est plus sage de passer la nuit au bord du plan d'eau
à 1,5 km de là. Pour une fois nous ne
serons pas seuls puisque cinq camping-cars nous attendent
déjà.
- Retour
à l'aire de services qui n'est qu'à cinq
minutes à pied du centre.
Notre premier arrêt est pour la cathédrale
Notre-Dame dont la magnifique façade marie
harmonieusement le style Renaissance et le gothique
flamboyant.
Nous flânons le long des quais bordés de
lavoirs et de jardins fleuris avant de découvrir
les halles et l'hôtel de ville.
- Cap
à l'Ouest pour rejoindre
Le Mans
et admirer ce soir
"La nuit des Chimères" qui attire un grand
nombre de visiteurs. Il faut dire que le spectacle
nocturne en vaut la peine.
Pour ce séjour, le dernier des trois parkings du
quai Louis Blanc sera notre camp de base. Contrairement
aux deux autres, il est quasiment vide. Pratique, il
n'est qu'à une dizaine de minutes à pied du
centre-ville. Certes, il y a un peu de bruit dû
à la circulation, mais rien d'insoutenable.
Dès la tombée de la nuit, la cité
Plantagenêt s'illumine et revêt un habit de
lumière en sept lieux reliés par un
parcours pédestre. Entre magie et féerie,
on se surprend à revivre l'histoire et la
légende du Mans sur les façades et murs des
monuments : naissance des chimères et concert des
anges sur la cathédrale, animaux fantastiques qui
défilent sur l'enceinte romaine, masques et
dragons sur la muraille Saint-Hilaire, apparition de la
Reine Blanche ou banquet dans la cour du
Conservatoire.
Un spectacle à recommander !
24 heures ne suffisent pas pour
découvrir Le Mans...
- Dimanche
est jour de marché
sur la Place des Jacobins.
L'après-midi est consacré à une
intéressante visite guidée du "vieux
Mans médiéval".
Bien installé sur une colline qui se trouve
calée au-dessus du cours de la Sarthe,
cette vieille ville est en partie entourée d'une
enceinte gallo-romaine qui a été
précieusement conservée. Sur la quarantaine
de tours qui existaient au moment de la création,
onze sont encore visibles.
Il est très surprenant de trouver de petites
ruelles tortueuses bordées de superbes demeures
anciennes dont certaines à pans de bois et ce, en
plein cur de cette grande ville.
Nous terminons par l'imposante cathédrale
Saint-Julien.
Tout cela a beaucoup de cachet.
- A
une petite dizaine de kilomètres du centre se
trouve le célèbre circuit des 24
heures et le musée automobile qui
fête cette année son cinquantième
anniversaire.
A cette occasion une série
d'événements et d'animations sont
organisés.
Plus d'une centaine de véhicules sont
exposés des plus anciens jusqu'au bolides actuels.
Films, photos, archives : tout est là pour
raconter cette course mythique.
- Nous
revenons vers la banlieue proche
du
Mans pour visiter
l'abbaye de l'Epau située dans un havre de
verdure.
Elle a été fondée en 1229 par la
reine Bérangère de Navarre, veuve de
Richard Cur de Lion. C'est une des dernières
implantations cisterciennes en France.
C'est avec plaisir que nous découvrons le
chauffoir et le scriptorium, la salle capitulaire
où est visible le gisant de la reine
Bérangère de Navarre et le dortoir
restitué dans sa configuration d'origine. Il y a
aussi la sacristie aux murs ornés de belles
peintures et l'église abbatiale qui est un bel
exemple d'édifice cistercien.
- Retour
sur Le
Mans pour faire la
visite guidée de la partie de la ville qui est
gallo-romaine. Plus d'une heure est dédiée
aux salles consacrées à cette époque
dans le tout récent musée
archéologique.
Une promenade dans la vieille ville nous conduit pour
conclure aux bains romains.
Le plein d'eau et les vidanges à l'aire de
services et nous quittons l'agitation de la ville.
- Nous
avions prévu de visiter le château à
côté de
Louplande
: fermé tout le mois d'août !
Le musée consacré à Claude Chappe,
l'inventeur du télégraphe optique
situé à
Brûlon
nous aurait intéressé : fermé
également alors qu'une pancarte à sa porte
indiquait qu'il devait être ouvert. Nous
souhaitions en connaître la raison : Office du
Tourisme en vacances et mairie fermée
l'après-midi.
Pas de chance aujourd'hui...
- A
l'entrée
d'Asnières-sur-Vègre
un joli parking nous attend. Il y a même un
robinet.
A la main le plan de visite remis par l'O.T. et c'est une
balade agréable d'assurée. Dommage qu'un
réglage de l'appareil-photo ait été
changé par inadvertance et qu'une série de
photos ait des couleurs et un contraste venus
d'ailleurs.
Dans l'église, ce sont les peintures murales d'une
grande qualité qui tiennent la vedette. Dommage
que l'endroit soit si sombre.
Un peu plus loin, le Manoir de la Cour était le
siège de la seigneurie ecclésiastique
locale.
Depuis la rue du 14 Nivose on a une belle perspective sur
le vieux pont qui enjambe la rivière.
Au débouché se trouve le Pavillon avec sa
tourelle. Ce fut pendant longtemps une maison
marchande.
Autre endroit agréable : la fontaine Saint-Aldric
qui a été transformée en lavoir.
En franchissant le pont on arrive à deux anciens
manoirs puis au château de Moulinvieux.
Nous revenons sous des orages, enchantés par cet
après-midi.
Nuit sans aucun bruit sur le parking.
- Petit
village fleuri qui respire le calme et la
tranquillité,
Juigné-sur-Sarthe
mérite un détour.
A l'entrée du bourg, enfoui dans un vaste parc
privé, on découvre le château
construit sur les ruines d'une ancienne demeure
seigneuriale. L'unique rue bordée de belles
maisons mène à l'église dont le
clocher fut probablement une tour de guet. Elle abrite un
retable monumental, une vierge à l'Enfant et de
beaux vitraux.
Depuis la terrasse on a une belle vue sur la
Sarthe et l'abbaye de Solesmes.
- Toute
proche, grande par la renommée et petite par la
taille, se trouve la commune
de
Solesmes.
Nous trouvons un parking fleuri et tranquille qui est
réservé aux camping-cars à
côté de la salle Pierre Reverdi.
La célèbre abbaye qui domine la Sarthe
n'est pas loin. Haut lieu du chant grégorien,
elle abrite toujours 70 moines et par conséquent,
on ne visite que l'église. Plus qu'un centre
touristique, elle s'impose comme un haut lieu de la vie
monastique française et internationale.
Les statues de saints - les fameux "Saints de
Solesmes" - et les tombeaux sculptés dans la
pierre sont tout simplement magnifiques et d'un
réalisme exceptionnel. On note une incroyable
finesse dans les détails et les expressions.
A 16 heures nous écoutons des chants
grégoriens.
- En
faisant nos courses au Carrefour Market
de
Sablé-sur-Sarthe
je demande à la caissière un endroit
tranquille pour déjeuner. Elle nous envoie sur le
parking de l'Espace Henri Royer. En bord de
Sarthe, l'endroit est calme et agréable. Il
y a même la possibilité de prendre de
l'eau.
Le château est maintenant une annexe de la
Bibliothèque Nationale de Paris (restauration de
livres anciens). Ses vastes jardins sont agréables
à parcourir. Depuis la terrasse on a une jolie vue
sur la rivière et l'Eglise Notre Dame.
Par de petites rues nous redescendons vers la ville et
assistons à un concert dans l'église.
Depuis hier c'est le grand beau temps et la
température dépasse enfin les
25°.
- Nous
pensions que
Parcé-sur-Sarthe
était un tout petit village. En fait, c'est une
cité de 1200 habitants.
Une promenade très agréable nous attend
grâce au plan que nous avions
récupéré il y a quelques jours. Ce
circuit nous permet de voir les principales
curiosités.
Départ de la Tour Saint-Pierre qui est le plus
ancien édifice du village. En montant au Calvaire
par les petites ruelles fleuries on découvre un
ancien grenier à sel et puits.
Une magnifique maison qui domine la Sarthe
était un ancien tripot et un lieu de jeux et de
plaisir au XVIè siècle.
Nous longeons le chemin de halage pour découvrir
la maison du passeur puis une autre demeure avec une tour
ronde et une autre carrée.
Pour finir, nous allons jusqu'à la demeure de
Claude Chappe où il fit en 1791 sa première
expérience de télégraphie optique
entre
Brûlon et
Parcé.
Il y a également un parking camping-cars où
il est possible de passer la nuit, juste à
l'entrée du village en venant de
Sablé.
- Malicorne-sur-Sarthe
n'est pas loin. C'est un haut lieu de la
faïencerie.
Nous faisons une visite guidée passionnante de la
"Faïencerie d'Art de Malicorne" au 18 de la
rue Bernard Palissy. C'est la dernière à
puiser sa terre dans les carrières d'argile. C'est
un voyage fantastique au cur d'une manufacture
traditionnelle d'autant que notre guide est vraiment
à la hauteur.
Du travail de la terre au décor entièrement
peint à la main, toutes les étapes de
fabrication respectent les préceptes des grands
faïenciers du XVIIIè siècle.
Un potier réalise un vase en deux ou trois minutes
devant nos yeux ébahis et nous admirons les
ouvrières qui réalisent des décors
d'une précision inouïe sept heures par
jour.
Une visite à ne pas manquer d'autant que l'accueil
est chaleureux.
- Il
faut également se promener vers le pont qui
enjambe la rivière pour y admirer les moulins et
un peu plus loin le château qui trône au
milieu de son parc.
- Orages
(oh désespoir ?) et trombes d'eau au
réveil. Après avoir demandé
l'autorisation au patron de la faïencerie, nous
avons passé la nuit sur l'un des nombreux parkings
qui sont à proximité.
- Cap
est mis sur
Bazouges-sur-le-Loir
où nous trouvons un magnifique parking à
deux pas du centre et du château.
D'après les guides et les recherches sur internet,
le château se visite le dimanche entre 15 et 18
heures.
Pendant l'heure du déjeuner nous partons en
reconnaissance : une affiche indique que le château
n'est ouvert... que pendant les heures d'ouverture
indiquées. Sauf qu'elles ne le sont pas, les
bougresses !
Une heure avant, je téléphone pour en
savoir plus. Château fermé pour cause de
travaux. Cela aurait été trop simple de
l'indiquer sur la grille.
Il y a des plaisantins (synonyme de rigolos) même
chez les châtelains... ;-)))
- Petite
cité de caractère au bord du Loir,
Luché-Pringé
ne nous aura pas
ébloui. Sont à voir l'église et le
pont de pierre très fleuri.
En face le centre de secours sont installés un
vaste parking et une aire de services. Calme
garanti.
- Premier
des châteaux de la Loire en venant du Nord,
Le
Lude surprend par son
imposante stature et par son architecture composite.
Ses quatre façades racontent comment cette
forteresse médiévale est devenue une
demeure de plaisance à la Renaissance, encore
transformée aux XVIII et XIXè
siècle.
Dans les mains de la même famille depuis 250 ans,
ce bâtiment historique n'est pas figé dans
son passé. Ses propriétaires l'habitent,
l'animent et dévoilent au public la richesse de
ses intérieurs et de ses jardins.
La visite des somptueuses salles richement
décorées est intéressante
malgré une guide qui récite son texte.
- A
Vaas,
nous comptions visiter le Moulin de Rotrou. En
septembre, il n'est ouvert que le dimanche
après-midi !
Nous nous contentons de contempler les eaux limpides
depuis le pont jeté sur le Loir.
Nous passons la nuit sur un immense parking proche des
écoles. L'endroit est calme, agréable et
très fleuri. Nous disposons d'une aire de services
avec eau et vidanges gratuites.
- Il
n'y a pas grand chose à voir à
Château-du-Loir
si ce n'est la
piéta en terre cuite au fond du cur de
l'Eglise Saint-Guingalois.
- Idem
pour
Ruillé-sur-Loire
où l'on voit un ancien couvent de surs de la
Providence et une église avec de jolis vitraux.
Cette fin de voyage n'est pas à la hauteur de ce
que nous avons vu jusqu'à
présent.
- Nous
nous arrêtons à
Poncé-sur-le
Loir devant la
Verrerie des Côteaux où de beaux
objets sont exposés. Le verrier qui devait
officier devant nos yeux n'est pas là...
Le château est fermé car il est en travaux.
Deux ouvriers sympathiques nous laissent toutefois
prendre quelques photos.
- Bessé-sur-Braye
sera notre dernière escale. Nous passons une nuit
tranquille au pied du collège.
Nous avons la bonne surprise de trouver ouvert le
château de Courtanvaux. Au milieu d'un grand
parc, il a la particularité de n'avoir jamais
été vendu, seulement transmis de famille en
famille.
Il s'ouvre au bout d'une allée de platanes par un
adorable portail Renaissance sculpté et
flanqué de deux tourelles.
Il comporte deux ailes : le "petit" et le "grand"
château , corps principal dont les grandes salles
alignées atteignent 50 mètres de long.
La façade la plus charmante donne sur la
vallée par un jardin de buis en terrasse.
Nous achevons ce circuit en beauté car c'est
vraiment un très bel endroit. Il est possible de
passer la nuit sur le parking du
château.
Ce voyage d'une quinzaine de
jours se termine.
Nous remercions notre amie Annick d'avoir établi dans
cette belle région un itinéraire aussi
agréable.
Nous avons également apprécié la
gentillesse des Sarthois.
Des endroits tranquilles nous ont toujours accueilli pour la
nuit.
Nous y étions seuls la plupart du temps car les
camping-caristes semblent délaisser ce
département.
Seul regret : beaucoup de sites sont déjà
fermés dès la seconde quinzaine du mois
d'août.
Merci de votre visite et
à bientôt !
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