Bernard.Tartois@wanadoo.fr

 

ITALIE

  

      

 

Ce symbole vous indique une astuce, un bon coin
où passer la nuit, un point d'eau, un restaurant, etc.

 

- de fin mai à début juillet 2009 -

 

 

5 : Pise - 6 : Lucca - 7 : Pistoia - 8 : Florence - 9 : Montefioralle -
10 : San Gimignano - 11 : Sienne - 12 : Orvieto - 13 : Rome - 14 : Anagni - 15 : Pompei - Sorrento - Vésuve - Naples - 16 : Monte Sant'Angelo - 17 : Vieste -18 : Torre Mileto - 19 : Ascoli Piceno - 20 : Assise - 21 : Perugia - 22 : Gubbio - 23 : Urbino - 24 : Saint- Marin - 25 : Plaisancia - 26 : Le Mont-Cenis -
(Microsoft AutoRoute Express 2007)

 

 

- la Toscane -

 

 

  • Cap est mis sur Pise pour accueillir mon épouse qui arrive le lendemain en train. Elle vient tout droit du concert d'adieu que Johnny Halliday a donné au stade de France.

    Nous longeons longtemps la mer et, comme nous sommes samedi, les stations balnéaires sont prises d'assaut. Beaucoup de monde et de circulation. La conduite requiert une attention particulière car nos amis italiens sont imprévisibles sur la route.

    Deux heures ont été nécessaires pour parcourir les 60 km qui séparent
    La Spézia de Pise.



    Nous trouvons facilement la grande aire de services quasiment vide. Elle est à seulement 800 mètres du centre historique.

    Le gardien est très sympathique et parle parfaitement le français. Il a fait une partie de ses études à
    Lyon.
    Douze euros sont demandés par jour. Eau et vidanges gratuites.


    Depuis notre entrée en Italie, il faisait un temps magnifique et une trentaine de degrés. Un violent orage accompagné de trombes d'eau accueillent Nicole à la gare centrale de
    Pise.
    De retour au parking, les tunnels sont inondés et les voitures roulent à 20 km/h.

 

 

 

 

 

  • L'après-midi, nous partons visiter l'impressionnante Place du Duomo.
    Malgré de nombreuses averses, elle est noire de monde.

    Cet ensemble monumental se compose de quatre édifices parfaitement harmonieux.
    La Tour penchée haute de 58 mètres est bien entendu le plus célèbre. Ses fondations qui ne font que 3 mètres et la nature du sol sensible aux variations d'humidité sont les causes de son inclinaison

    A côté, le Duomo et sa superbe façade décorée, le Battistero et enfin le Camposanto renommé pour ses fresques.
 

 


- Le soir, une bouteille de champagne est ouverte pour l'arrivée de Nicole -

 

 

  • Le lendemain est encore une journée ponctuée de pluie avec seulement une vingtaine de degrés. Je n'aurai jamais imaginé ces conditions météo un début juin.

    Nous nous promenons dans la vieille ville. Les graffitis sont omniprésents sur les maisons.
    Les bords de la rivière Auro sont bordés de palais.
    Il est temps de remonter, toujours par les vieux quartiers, vers la Tour que nous devons gravir à 13 heures (15 euros). Tout est très bien organisé et l'ascension des 294 marches se passe sans problème.
    Inutile de dire qu'arrivé en haut, cet effort en vaut la peine car le panorama est à la mesure.

    Suivent les visites du Duomo et du Battistero, fort intéressantes, elles aussi.

 

 

 


- Des graffitis, nous en retrouverons partout durant tout notre voyage -

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  • En ce jour de fête nationale, nous poursuivons notre voyage sur Lucca distant d'une vingtaine de kilomètres.
    Le soleil et la chaleur sont de retour.

    Nous nous arrêtons à l'aire pour camping-cars de "Il Serchio". Pour 18 euros la nuit, c'est le grand luxe : très calme, une cinquantaine d'emplacements larges, délimités par des haies, borne électrique et robinet privatifs, postes internet etc.
    Il y a également une piscine.

    Plus intéressant pour nous, seulement une vingtaine de minutes à pied permet de rejoindre le centre historique. On nous remet un plan qui nous sera fort utile.

 

 

 

 

 

  • Disons-le tout de suite, nous avons beaucoup aimé Lucca. Elle est entièrement ceinte de remparts.
    C'est ici qu'est né Puccini, l'auteur entre autres de "Turandot" et de "la Bohème".

    Comme nous y invite le Michelin Vert, c'est de la piazza Napoleon que démarre notre circuit.
    Un peu plus loin, la piazza San Michele abrite la magnifique église du même nom. L'archange terrassant le dragon veille au sommet de la façade très ouvragée. Par contre, l'intérieur est très dépouillé et présente peu d'intérêt hormis un tableau de Filippino Lippi.

    La rue Fillungo est piétonne et animée. C'est la principale rue commerçante. Plusieurs des boutiques qui la bordent sont décorées de ferronneries style Art nouveau. Elle conduit à la piazza dell'Anfiteatro.
    Nous continuons à nous promener tout l'après-midi dans ce bel endroit.
 

 

 

 

 

 

 

 

 

  • Il nous faudra pas moins d'une heure et demie pour franchir les 45 km qui nous séparent de Pistoïa. Importante circulation et nombreux feux rouges en sont la cause.


    Nous stationnons sur l'un des trois parkings du stade. L'eau et les vidanges sont gratuites. Nous y passerons une nuit calme et tranquille.

    Un minibus nous emmène en quelques minutes à 100 mètres de la piazza del Duomo moyennant la somme de 0,80 euro.

    Leur fréquence est très rapprochée et il est rare d'attendre plus de cinq minutes.
    Le ticket est valable autant de fois que nous le souhaitons durant la journée où il a été acheté.
    Très pratique !

 

 

 

 

 

  • Malheureusement un orage se déclenchera dès le début de l'après-midi et le soleil ne reviendra que dans la soirée.

    A la descente du bus nous pouvons admirer la superbe frise en terre cuite vernissée qui orne la façade de l'hôpital del Ceppo.
    Sept tableaux illustrent les Sept Œuvres de la Miséricorde.
 

 

 

 

  • Une pente d'une 100 mètres à gravir et nous débouchons sur la piazza del Duomo. Ce serait une des plus belles places d'Italie.
    Sous l'orage, cela n'a rien d'évident !

    Nous en profitons pour visiter l'intérieur de la cathédrale San Zeno célèbre pour la chapelle qui abrite l'autel de Saint-Jacques, chef-d'œuvre d'orfèvrerie qui compte plus de 600 personnages.
    La très jolie façade est dominée par un campanile de 70 mètres de haut.

    En face, le baptistère de San Giovanni in Corte est fermé. Le revêtement de marbre blanc et vert est du meilleur effet.

    Nous faisons également quelques photos dans le palazzo Pretorio, l'ancien siège du tribunal. La cour décorée de fresques abrite une chaire à trois ordres de marches et un banc pour l'administration de la justice.

    Il ne nous reste plus qu'à nous balader, toujours sous la pluie, dans les ruelles du centre historique.

 

 

 

 

 

 

 

  • Bien que toujours lourd et orageux par moments, le beau temps est revenu.

    Nous nous arrêtons pour le ravitaillement dans un hypermarché Coop à
    Agliana. Le magasin est très achalandé. Comme dans les pays Baltes ou en Pologne, il nous faut prendre les légumes avec un gant en plastique. Même les pommes de terre !

 

 

  • Nous arrivons dans les embouteillages à Florence et le GPS a quelques difficultés en fin de parcours pour nous conduire au camping Michelangelo.

    La plupart des emplacements étant ombragés par des oliviers, l'endroit est assez plaisant. Même début juin, il y a déjà pas mal de monde.
    Electricité et eau pour 35 euros la nuit. Bar, minimarket, machines à laver, point internet sont à disposition.


    Depuis le bar on découvre un beau panorama sur la ville mais le mieux est de monter 300 mètres plus haut sur la piazza Michelangelo où il est encore plus époustouflant.

 

 

 

 

 

 

 

  • Juste à la sortie du camping, le bus N° 12 mène au centre-ville en quelques minutes et le 13 à la gare ferroviaire au Nord de la ville (1,20 euro le billet valable 70 minutes sur tout le réseau).
    Malheureusement, comme à
    Pise, le soleil n'est pas au rendez-vous !

    Nous descendons à proximité du Ponte Vecchio. Il enjambe l'Arno à son endroit le plus étroit. C'est une figure emblématique de
    Florence.
    Jadis occupé par les tanneurs puis les bouchers pour qui le fleuve était un tout-à-l'égout inespéré, ils furent remplacés au XVIè siècle par des bijoutiers et des orfèvres. Ils sont toujours là aujourd'hui.
 

 

 

 

  • La longue galerie degli Uffizi bordée de statues aboutit sur la belle et grande piazza della Signoria.
    Cernée par les palais tous plus luxueux les uns que les autres, on admire là aussi d'imposantes statues qui commémorent l'histoire de la cité ainsi que la fontaine de Neptune.
 

 

 

 

  • Devant tant de beauté démesurée, un véritable choc se produit lorsque l'on débouche sur la Piazza del Duomo : le Duomo, le campanile, le baptistère et le campanile forment une gigantesque pâtisserie de marbre blanc et vert. Que c'est beau !

    Le Duomo est un des plus vastes du monde chrétien. Il faut détailler le choeur et la magnifique coupole où est représenté le jugement dernier.

    A l'intérieur du baptistère richement décoré, c'est surtout la superbe mosaïque qui attire l'attention. A l'extérieur, ce sont les portes de bronze ornées de panneaux sculptés. Illustrant des scènes de la Bible, Michel Ange les surnomma "les Portes du Paradis".
 

 

 

 

 

 

 

 

  • Les rues piétonnes nous font musarder dans le quartier Santa Croce avant d'arriver à l'église du même nom.



    Elle abrite les tombeaux de Florentins célèbres comme Léonard de Vinci, Galilée ou Machiavel.



    La place a conservé plusieurs belles demeures et de nombreuses statues.

 

 

 

 

  • C'est ainsi que se termine cette première journée qui aura été très chaude mais où n'aurons malheureusement pas vu le soleil.

 

 

 

 

 

 

 

  • Nous rejoignons le Ponte Vecchio et poursuivons dans de petites rues bordées de boutiques d'artisans comme la Via San Spirito. Nous revenons sur nos pas en longeant l'Arno qui nous dévoile l'autre côté du Ponte Vecchio.

    Non loin se dresse l'église San Spirito sur une petite place où se tiennent terrasses de restaurants et un marché. L'intérieur contraste avec l'austérité extérieure. Tout n'est que superbes tableaux et statues.

    Avant de rejoindre l'autre rive pour déjeuner, nous passons devant le palais de Pitti qui renferme d'innombrables œuvres d'art que nous admirerons cet après-midi.
 

 

 

 

  • A 50 mètres de la piazza del Duomo, 102/r Via Calzaiuoli, le self Marchetti sert entre autres d'excellentes pâtes. L'accueil est souriant et sympathique et les prix doux : 10 à 15 euros.
 

 

 

 

 

 

  • L'après-midi et le début de soirée sont consacrés à la visite d'un des plus grands musées de la ville : la Galleria Degli Uffizi.

    Il renferme principalement les collections des Médicis. 3/4 d'heure de patience sont nécessaires avant de pouvoir atteindre le guichet.

    Avec des tableaux comme le "Printemps", la "Naissance de Vénus" ou la "Vierge du Magnificat", la salle Botticelli est un des points d'orgue de toutes ces merveilles.

    La salle Léonard de Vinci propose quant à elle "l'Adoration des Mages" et "l'Annonciation".

    De nombreuses œuvres de Raphaël, de Michel-Ange ou du Titien avec sa "Vénus d'Urbino" sont un enchantement pour l'œil et l'esprit.
 

 

 

 

 

 

 

 

  • Heureusement que notre visite de cette ville magnifique qu'est Florence est terminée car, après le très violent orage d'hier soir, il pleut encore ce matin.


    Nous piquons vers le Sud pour visiter la chartreuse de
    Galluzzo. Cela s'avérera impossible en raison de la messe dominicale.
    Nous n'en verrons que l'escalier monumental qui mène aux bâtiments conventuels.


    La route nous fait traverser cette région du Chianti qui est bien entendu colonisée par les vignes.
 

 

 

 

  • Même problème à Impruneta où des centaines de personnes sortent de la basilica di Santa Maria.


    Nous reviendrons deux heures plus tard après le déjeuner et nous la trouverons fermée...


    Décidément, nous n'avons pas de chance aujourd'hui en parcourant cette route du Chianti : à
    Greve in Chianti, c'est une fête associée à un marché qui nous empêchera de trouver la moindre place pour se garer.
 

 

 

 

 

 

  • Une toute petite route nous conduira dans un minuscule village qui est un vrai bijou : Montefioralle.

    C'est ici que le navigateur-explorateur Amerigo Vespucci est né. Il a donné son nom à l'Amérique.
    Les ruelles pavées, bordées de vieilles maisons abondamment fleuries, d'arches et de tours, sont un véritable enchantement.
    L'église San Stefano est fermée.

    Nous passons une nuit sans le moindre bruit sur le parking en sortie de village, juste après la voie à circulation alternée.
    Au pied du village fortifié, l'endroit est particulièrement agréable.

    A recommander !

 

 

 

 

 

 

 

  • Après plusieurs jours de grisaille et de pluie, le grand soleil est revenu.
    Fausse alerte : seulement quelques éclaircies. Par contre, la température se situe toujours au-dessus de 25°.

    Une seconde tentative de stationnement à
    Greve in Chianti se soldera par un échec. Nous aurions aimé voir la place Matteoti. Tant pis !
 

 

 

 

  • Une route aussi sinueuse que pittoresque nous mène à Castellina-in-Chianti.
 

 

 

  • A l'entrée de ce charmant bourg, un immense parking permet de laisser le camping-car pour la visite du centre qui est à 300 mètres. Il y a également une aire de services gratuite pour les vidanges mais sans la possibilité de faire le plein d'eau.

    Face à l'église du Très-Saint-Sauveur se trouve la curiosité de la ville : la via delle Volte, une rue presque entièrement voûtée qui permettait jadis de faire à cheval le tour de cette petite ville fortifiée.

    Au retour de cette agréable promenade, la place de la Rocca dévoile une imposante forteresse qui domine la cité.

    Une étape à ne pas manquer !
 

 

 


- photo Annick Galinier -

 

 

 

 

 

  • Nouvelles difficultés pour stationner à Poggibonsi. En définitive, nous laisserons le camion à l'aire de services située à 700 mètres du centre. Au vu de l'importante circulation qui passe à quelques mètres du camion, il est inutile d'espérer y dormir...

    Dans le centre historique, il faut voir le palazzo Pretorio, la piazza Cavour et quelques rues typiquement italiennes.

    C'est ici que sont construits les camping-cars Rimor. Il est assez impressionnant de voir sur parc ces centaines de châssis nus ou de camions prêts à être livrés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  • A San Gimignano, nous comptions passer la nuit et laisser le camion sur le parking de la Via Matteotti, à l'angle de la Via P. Gobetti. Et bien ni le GPS, ni nous, ne le trouverons. Il faudra attendre le lendemain pour passer devant avec le bus.


    Nous irons finalement au camping " Il Boschetto di Piemma " à Santa Lucia. L'endroit est calme et agréable.
    25,40 € pour un CC et 2 personnes.


    Très pratique, un bus passe toutes les heures pour monter en quelques minutes à
    San Gimignano, distant de 3 km environ (1 euro A.R.).

 

 

  • Il est assez surprenant de voir comme ont changé tous ces sites que nous avions visité il y a presque 30 ans.
    San Gimignano n'échappe pas à la règle : les touristes et les boutiques de souvenirs ont été multipliés par dix.

    On aperçoit de loin ce village perché et la surprise est grande de voir des gratte-ciel en pleine campagne toscane.
    En ce rapprochant, les gigantesques immeubles deviennent des tours de pierre. Au nombre de 72 au Moyen-Age, il n'en reste plus que 15. Elles furent construites comme des donjons au moment des guerres qui opposèrent les partisans du pape à ceux de l'empereur germanique.
    Plus elles étaient hautes, plus grandes étaient la puissance et la richesse de la famille.

    Le bus nous dépose à la Porte San Giovanni, début du parcours qui nous fera traverser cette ville fortifiée.
    Beaucoup de monde dans la rue principale bordée d'innombrables boutiques, de restaurants, de bars et de marchands de glaces.

    Le lieu reste toutefois magnifique.
 

 

  • La piazza della Cisterna est cernée par des vieilles demeures dont plusieurs sont surmontées de tours. Bien sûr, un puits trône en son centre. Il y a aussi la tour du Diable et les tours jumelles (ça vous rappelle rien ?) de la famille Ardinghelli, la plus riche de la ville.

    Quelques dizaines de mètres et c'est la piazza del Duomo qui s'ouvre à nos yeux ébahis. Là aussi, des anciens palais, plusieurs tours et la basilica di Santa Maria Assunta assurent le spectacle. Le palais de la Podestà possède la plus haute tour de la ville (54 m).
    Nous poursuivons cette agréable balade par la via San Matteo qui nous mène à l'église San Agostino construite sur une place bien tranquille à l'écart de la foule. Ses fresques exécutées par Benozzo Gozzoli sont remarquables.

    Pause pique-nique juste après la Porte Matéo, sur une terrasse avec vue sur la campagne.

    Retour Piazza del Duomo pour visiter l'intérieur de la basilique, déguster une glace et acheter quelques paquets de pâtes multicolores.

    Enchantés par cette journée à
    San Gimignano, le minibus nous ramènera au camping en moins d'un quart d'heure.
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  • Le stationnement à Sienne s'avère délicat : nous voulions passer la nuit sur le parking via delle Province. Seulement cinq camping-cars innocupés et toutes les autres places sont occupées par des voitures.
    Nous poursuivons vers le Parcheggio del Palasport : interdit en raison d'une manifestation sportive le soir. Pas de chance !

    Pour nous changer les idées, nous allons faire un peu de ravitaillement au supermarché Coop et voyons une pancarte "camping" alors que nous le croyions fermé depuis plusieurs années.

    Renseignements pris, il l'était et vient de rouvrir en avril 2009.
    Il se trouve 47 Strada di Scacciapensieri.

    Aménagé en terrasses, il est très calme. Piscine, minimarket et tout et tout...
    31,50 euros sont demandés pour un camping-car et deux personnes.
    Nous sommes surpris qu'il y ait autant de monde dans les campings en cette première quinzaine de juin. Les Allemands sont en nette majorité et les français invisibles.

    A la sortie, deux lignes de bus emmènent en quelques minutes au centre historique.

 

 

  • Sous un beau soleil, nous descendons à la piazza Gramsci.
    Un peu plus loin nous admirons la piazza Salimbeni qui est close sur trois côtés par trois palais d'architecture et de style différents.

 

 

 

  • Une des principales artères commerçantes de la ville, la via Banchi di Sopra, est très animée. Les maisons qui la bordent et la lumière si particulière de Sienne confèrent à l'endroit beaucoup de charme.
 

 

 

  • Une bifurcation sur la gauche par la via Bianchi di Sotto nous permet d'aller voir l'université et le palais Piccolomini aussi appelé palais du Pape.

    Une ruelle nous fait déboucher sans prévenir sur la fantastique piazza del Campo, une des plus belles d'Italie.
    Pavée de briques et en légère pente, elle est en forme de coquille avec à sa base le superbe Palaccio Publicco surplombée par une tour aussi gigantesque qu'élégante.

    En haut de la place, la fontaine de la joie attire les regards... et les pigeons.

 

 

 

 

 

 

  • Nous poursuivons notre promenade par la via di Cità, petite rue, elle aussi animée, bordée de commerces et de restaurants.

    Une délicieuse pizza est dégustée au pied du battistero San Giovanni avant de remonter sur la place du Duomo.

    Ornée de nombreuses statues et d'une superbe grue, la façade de l'église est d'une richesse incroyable.

    A l'intérieur, il faut surtout remarquer le pavement unique au monde. Pas moins de 56 panneaux - dont certains en restauration - où figurent des scènes de l'Ancien Testament ou bien de personnages mythiques.

 

 

 

 

 

 

  • Les efforts pour gravir les 500 marches de la tour del Mangia sont récompensés par le panorama sur la place et sur toute la ville. Nous dominons la cité à 88 mètres de hauteur.
 

 

 

 

 

  • Nous quittons cette belle ville de Sienne pour nous rendre à Orvietto distant de 120 kilomètres. La route est très pittoresque.

 

  

   

    Suite ...    

 

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